Odette, la mamie de Julie, a raconté la légende de la porte
aux fées.
Celle-ci s'ouvre sur une cave voûtée toute en pierres qui
était autrefois l'entrée d'un souterrain conduisant au château de la Ménardière.
On raconte que le soir de Noël, pendant la messe de minuit,
les fées montrent leur trésor, des chandeliers en or.
On doit sortir de la cave avant le douzième coup de minuit,
sinon la porte se referme et on reste enfermé jusqu'au Noël suivant.
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POÈME
Si j'étais la lune
Dans la cave aux fées
Je brillerais sur les hommes
Pour les libérer. |
Si j'étais une fleur
Dans la cave aux fées
Je lancerais mes pétales dorés
Pour éclairer le monde. |
Si j'étais le vent
Dans la cave aux fées
Je soufflerais très fort
Pour qu'aucune porte ne se ferme. |
Si j'étais une chanson
Dans la cave aux fées
Je chanterais
Pour la faire résonner. |
Si j'étais une craie
Dans la cave aux fées
Je dessinerais sur la voûte
Les rêves des enfants. |
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LA PETITE
POMME ROUGE
Deux cousins, Pierre, cinq ans et Julien, dix ans, se promenaient dans
la campagne autour d'un château abandonné et peut-être
hanté. Ce soir-là, ils s'étaient retrouvés
sur le sentier qui conduit au château. Pierre questionna Julien :
"Sais-tu ce qu'il y a dans la cave ?
-Non, mais nous allons voir", répondit Julien."
Pierre et Julien se dirigèrent vers le château et arrivèrent
devant une petite porte en bois qui s'ouvrit toute seule. En cherchant
dans une vieille salle du château, Pierre trouva une petite pomme
ronde toute rouge.
"Comment cette pomme est-elle arrivée là ?
- Elle veut peut-être dire qu'il y a quelqu'un dans la cave.
Prenons-là, elle nous sera utile plus tard.
- On entre ?
- Oui, mais pas longtemps", dit Julien.
Pierre et Julien ouvrirent la vieille porte en bois.
"Mais il fait noir ! s'inquiéta Pierre.
- Nous allons bien trouver quelque chose pour nous éclairer",
répliqua Julien pour le rassurer.
Soudain, en marchant, Pierre buta contre un objet qu'il prit dans ses
mains
"Oh ! Regarde, dit Pierre à Julien, une lampe qui éclaire.
Elle va nous aider à trouver la sortie.
- Voilà une porte, mais il y en a peut-être une autre
!"
Tout à coup, Pierre s'exclama :
"Regarde toutes ces portes là-bas.
- Une, deux, trois, quatre, cinq portes, compta Julien. Mais laquelle
allons-nous prendre pour sortir ?
- Il y en a tellement !
- Essayons la première !
- Non, ce n'est pas celle-là."
À cet instant, la petite pomme tomba des mains de Pierre et
se mit à rouler. Les enfants la suivirent et la pomme s'arrêta
devant une porte qui s'ouvrit.
"Voilà la bonne porte ! Ouf !"
Aurélien
- Anaïs - Angélique - Franck
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LE PARCHEMIN
Un jour, Odette raconta la légende de la cave aux fées
à ses petits enfants Arnaud et Hélène :
"À Noël, leur dit-elle, les fées montrent leur trésor
(des chandeliers en or). À minuit sonnant, la porte se referme et
on peut rester prisonnier pendant toute une année. Dans la cave,
il fait noir et on manque d'air."
Les enfants très intéressés par cette légende
décident d'aller voir cette drôle de cave pour trouver le
trésor. Un jour, ils trouvent la cave et y entrent. Tout à
coup, la porte claque et ils sont enfermés.
"Mamie l'avait bien dit, on a l'impression de manquer d'air dans cette
cave", dit Hélène.
Arnaud demande :
"Comment va-t-on sortir d'ici ?
- On est perdus, répond Hélène.
- Comment sortir ?" pleurent les deux enfants. Ils cherchent, ils cherchent
mais rien à faire.
En creusant le sol, Arnaud trouve un morceau de papier entre deux pierres.
"Qu'est-ce que c'est ? demande Hélène.
- C'est un parchemin très ancien et fragile sur lequel une carte
est dessinée. Il nous aidera peut-être à sortir d'ici",
répond Arnaud.
Hélène bouscule Arnaud sans le faire exprès et
la carte tombe dans un puits. Arnaud crie :
"Petite chipie ! Tu n'aurais pas pu faire attention ! Comment va-t-on
la récupérer ?" Les deux enfants réfléchissent
et tout à coup, Hélène a une idée :
"Prends la corde qui est dans ton sac, accroche-là à
ce rocher et descend calmement."
Courageux, Arnaud descend dans le trou profond mais Hélène
se rend compte que la corde commence à craquer.
"Es-tu descendu jusqu'au fond ? s'inquiète-t-elle.
- J'y arrive ! Youpi, j'ai trouvé la carte. Ouf ! Elle n'est
pas perdue.
- Ne remonte pas, la corde va craquer, je vais essayer de la réparer,
hurle Hélène.
- Fais vite, j'ai peur !" crie Arnaud.
Hélène fait un noeud très solide.
"C'est bon, tu peux remonter." Arnaud remonte bien vite et se met à
lire la carte.
"Nous allons suivre les instructions de ce plan." Au bout d'un moment,
Arnaud a trouvé une porte.
"C'est par ici", dit-il.
Ils marchent longtemps et tout à coup, ils se retrouvent dehors.
Papa, maman, papy et mamy, heureux de les retrouver, poussent un grand
soupir. Leur petit chien Caramel saute de joie et leur lèche le
visage.
Fleur - Noémie
- Julien - Céline
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LE COUTEAU
SUISSE
C'était
la veille de Noël ; il neigeait. Pierre et Jérôme avaient
quitté le village de Pont-Beugnon.
"Si on allait visiter le souterrain, proposa Jérôme.
- Oui, répondit Pierre, mais on ressort tout de suite.
- D'accord, dit Jérôme. Tu as peur, Pierre !
- Non, non, reprit Pierre, mais je ne veux pas rester dedans jusqu'à
minuit moins le quart. On manquera d'air et on ne verra pas papa et maman
pendant une année : Maman m'a raconté la légende de
la cave aux fées. Le soir de Noël, les fées montrent
leur trésor. Quand les douze coups de minuit sonnent, la porte se
referme, alors on étouffe et il fait noir dans cette cave."
Les deux enfants avancèrent vers le souterrain et poussèrent
la porte pour le visiter. Tout à coup, Pierre s'écria :
"J'ai trouvé un couteau suisse sur la pierre.
- Comment est-il ? demanda Jérôme.
- Il est bizarre, répondit Pierre.
- Oh ! Regarde, la porte s'est refermée.
- J'ai peur ! s'écria Pierre.
- Calme-toi, calme-toi, répondit Jérôme, on a le
couteau suisse.
- J'entends un cri, dit Pierre, si on allait voir !"
Ils s'avancèrent doucement et trouvèrent un prisonnier
qui était enfermé depuis le Noël dernier.
"Je voulais ressortir mais la porte s'est refermée et je me
suis retrouvé prisonnier dans cette cave, leur dit-il. Heureusement,
en creusant le sol j'ai trouvé des conserves et là-bas j'ai
pris de l'eau dans un puits.
- Ce couteau vous appartient-il ? demandèrent les enfants. On
l'a trouvé au milieu du souterrain.
- Victoire, je l'avais perdu, c'est un couteau magique qui peut ouvrir
la porte."
Ils partirent et sortirent du souterrain avant minuit moins le quart
en se disant :
"Si on écrivait cette aventure dans un livre.
- Je vais l'écrire pour vous avec ma femme, reprit l'homme,
et je vous donnerai ce livre que vous conserverez dans votre bibliothèque."
Olivier - Maxence
- Antonin - Mathilde
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LE
COFFRET
Alexis et Patrick, deux frères, étaient en vacances chez
leur grand-mère qui habite au Pont-Beugnon.
Un jour les enfants décidèrent d'aller voir de plus près
l'entrée d'un souterrain. En route, Alexis questionna :
"Est-ce que c'est dangereux ?
- Peut-être, répondit Patrick.
- Comment trouver la porte ? reprit Alexis.
- En cherchant...
- En cherchant dans le noir ?" répliqua Alexis.
En effet, sans s'en apercevoir, les enfants étaient entrés
dans le souterrain. Soudain Alexis cogna dans quelque chose.
"Qu'est-ce que c'est ? cria-t-il.
- Un coffret très bizarre ! s'exclama Patrick.
- À quoi peut-il servir ?
- Il y a peut-être une clé à l'intérieur
du coffret."
Un peu plus loin, ils se trouvèrent devant une porte, mais celle-ci
s'ouvrit toute seule. Les enfants avancèrent sans faire de bruit,
en se méfiant.
"Oh ! que c'est beau ! La voûte est toute en or !" s'exclama
Alexis tout étonné.
Tout à coup, après les douze coups de minuit, la porte
se referma et les enfants prirent peur.
"Ouvre ce coffret, dit Patrick à Alexis.
- Voilà une clé qui brille, je l'avais deviné.
- Essayons d'ouvrir la porte avec cette clé", proposa Alexis.
Les enfants mirent la clé dans la serrure mais la porte ne s'ouvrit
pas.
"Alors à quoi peut bien servir cette clé ?
- Il y a peut-être une autre sortie, cherchons."
La clé se mit à étinceler. Plus ils avançaient,
plus elle brillait et tout à coup, elle s'éteignit juste
devant une toute petite porte.
"Essayons la clé ici", dirent les enfants.
Quelques minutes plus tard, soulagés, ils sortirent.
Noémie
- Céline - Constant - Karine
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DES
BOULES DE PÉTANQUE ?
Marc et Matthieu attendent Luc devant le donjon. Ils se sont mis rendez-vous
à l'heure où le coq chante. Mais Luc a oublié de mettre
son réveil, et quand il saute du lit, il fait chaud et le soleil
est rouge. Avec du retard, ils partent pour chercher un trésor mystérieux
dont leur a parlé une grand-mère.
Ils entrent dans la cave du château et découvrent un escalier
en ruines. Leurs ombres s'agrandissent de plus en plus et ils en ont peur.
Marc propose :
"Est-ce qu'on se risque à descendre ?
- Non, j'ai trop peur des ombres, répond Matthieu, et j'ai peur
que ça s'écroule."
Pourtant, Luc ose s'y engager.
Arrivé en bas, il s'écrie : "J'ai trouvé une clé
sur les marches. Cette clé sera peut-être utile."
Matthieu se risque à son tour et s'exclame : "J'aperçois
une petite porte."
Luc arrive à l'ouvrir avec la clé, il s'écrie
: "J'ai réussi !"
Les enfants pénètrent dans le souterrain étroit
et sombre. Ils allument leurs torches, marchent longtemps. Soudain une
ombre passe au-dessus de leurs têtes et les fait sursauter : "Au
secours ! hurle Matthieu.
- Calme-toi, ce n'est qu'une chauve-souris !" le rassure Luc.
Ils poursuivent leurs recherches et, tout à coup, dans un creux
du mur ils aperçoivent un coffre bleu. Ils réussissent à
l'ouvrir à l'aide de la clé. Les enfants sont stupéfaits
car des boules en or scintillent. Ils remontent pour aller chercher de
l'aide. Ils rencontrent un paysan dans un champ voisin. Les enfants lui
expliquent qu'ils ont trouvé un trésor mais n'arrivent pas
à le transporter. Le paysan leur propose une voiture. Ils reviennent
ensemble au château pour charger les boules et les rapporter dans
une grange qu'ils ont demandée au fermier.
Les aventuriers cachent le trésor car ils ont peur qu'il ne
soit volé et se rassemblent chaque dimanche pour l'admirer.
Le fermier, qui ne croit pas au trésor, pense que les boules
ne sont qu'un vieux jeu de pétanque.
Benjamin - Laëtitia
- Maxime - Lucile
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HEUREUSEMENT
QU'IL PLEUVAIT !
Albert, Robert et ses amis veulent aller au château parce qu'à
l'école, le conte de la grand-mère les a fait rêver.
Ils partent le soir en prenant le sentier rocailleux qui mène au
donjon. Il tombe des cordes abominables, et il fait un froid de canard.
Tout le monde est en bonnet, Robert a un gros polaire rouge. Ils voudraient
tellement trouver le trésor pour être connus dans tout le
village.
Il ne faut pas faire de bruit, car la légende dit que des démons
hantent le grenier.
"Et si c'était vrai ce que nous a dit la grand-mère ?
- Arrête de t'inventer des histoires ! reprend Albert.
- Écoute ces grincements. Tu n'entends pas pas ?
- Ah oui ! c'est vrai ! murmure Davy.
- Retournons dans nos lits, chuchote Maxime.
- Pas question, allons voir ce que c'est !
- D'accord."
Mais il manque
l'escalier pour monter à l'étage.
Il est en ruines. C'est
alors qu'apparaît un gentil fantôme tout rond qui leur donne
un indice : un parchemin indiquant le plan du château. Ce précieux
papier va leur faire découvrir l'ouverture du tunnel menant au trésor.
Les yeux bleus d'Albert scintillent déjà d'impatience. Les
enfants se sentent pleins de courage.
Ils s'engagent dans le tunnel qui les mène jusqu'à une
vieille porte en bois. Derrière, il y a cinq coffres. Le trousseau
de clés est placé sur une poutre de la charpente. Robert
grimpe sur le mur presque écroulé pour aller le chercher.
Il glisse sur une pierre et tombe sur un coffre qui craque sous son poids.
Plus besoin de clés. Les boules d'or s'échappent du coffre
et roulent jusqu'au bout du souterrain. Chaque enfant prend une boule.
Albert n'arrive pas à soulever celle qu'il a choisie. Robert l'aide.
À deux, c'est plus facile.
Les enfants sortent du souterrain en courant, malgré le poids
des boules d'or, car les démons, réveillés par la
chute de Robert, les poursuivent jusqu'à la porte du château.
Mais heureusement, il pleut, il fait froid et les monstres ne sortent pas
du château car ils fondent au froid et à la pluie.
Les enfants, contents de leur expédition, exposeront leur trésor
dans leur classe.
Thibaud - Simon
- Jessica - Delphine - Tomy
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UN MUSÉE
AU VILLAGE
À Saint Pierre du Chemin, cinq jeunes aventuriers qui viennent du
village voisin se risquent à partir vers la Ménardière.
Les enfants sont rassemblés sur le sentier du château, devant
le mur. Ils ont décidé de partir à neuf heures.
Ce jour-là un soleil rouge brille au-dessus du village. Ils
sont à la recherche d'un trésor perdu dans la forteresse.
Une mamie leur a raconté la légende des boules d'or cachées
à l'intérieur du château.
Ils ont du mal à ouvrir la porte d'entrée car la serrure
est rouillée. À force de la pousser, ils réussissent
à l'entrouvrir.
Ils se retrouvent dans un couloir qui mène dans une pièce
obscure. Soudain, l'un des courageux garçons aperçoit une
cheminée ; il décide d'y monter en faisant la courte échelle,
mais le dernier est bloqué puisque personne ne peut l'aider. Alors
le premier crie : "Je vais te lancer une corde." Ils arrivent enfin à
l'étage supérieur, dans une chambre. Ils se regardent et
rient de se voir tout noirs. L'un des garçons crie :
"Regardez, on dirait un dictionnaire !
- Ouvrons-le.
- Oh ! il est creux !..
- Un bout de papier est à l'intérieur."
Les enfants découvrent que c'est le plan qui leur manquait.
Estelle, la plus âgée, comprend qu'il indique l'emplacement
des boules d'or.
En poussant une trappe, ils trouvent un tunnel où brille une
lumière bleue. Les jeunes aventuriers ont peur de cette lueur bizarre.
Les garçons, très courageux, disent : "Nous allons prendre
le devant." Soudain, un des enfants marche sur une pierre aux étranges
couleurs. Quand il fait ce mouvement, une porte s'ouvre, elle mène
à un deuxième souterrain.
Les garçons plutôt curieux décident de franchir
la porte. Les filles, qui ont de l'imagination, croient apercevoir des
têtes et des squelettes. Terrifiées, elles se mettent à
crier si fort que les murs commencent à trembler. Soudain, sur un
plateau rouge, les boules d'or apparaissent. Les filles claquent des dents
tellement elles sont effrayées. C'est elle qui les ont vues les
premières ! Elles crient : "Nous les avons trouvées."
Les garçons arrivent très essoufflés. Ils découvrent
le trésor, mais quand ils décident de le prendre, les boules
sont trop lourdes. Ils courent chez leurs parents pour leur apprendre la
nouvelle.
Les grandes personnes très contentes invitent le village pour
admirer les boules d'or. Quelques temps après, les villageois décident
de bâtir un musée où ils exposeront le trésor.
Julie - Laura
- Laura - Étienne
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LES DEUX MOITIÉS DU
PARCHEMIN
Les enfants partent de chaque coin de Saint Pierre du Chemin pour se rassembler
dans le village du Puy Massé. Ils veulent chercher un trésor
caché près d'un blason, dans le couloir qui mène à
la cave du château de la Ménardière. C'est Simon qui
a décidé l'expédition et il a demandé à
Jérémy, Camille et Hélène de l'accompagner.
C'est le soir. Des nuages menaçants envahissent le ciel rouge
et il commence à pleuvoir.
Les enfants arrivent devant la porte principale du château. Ils
ont peur d'entrer car ils croient voir des ombres noires. Ils manquent
de courage mais il faut prendre une décision : "Passons par derrière",
propose Jérémy. Ils se précipitent tous les quatre.
Ils ouvrent une porte grinçante qui donne dans un tunnel sombre.
Camille y entre et heurte un objet rond qui roule et va se casser dans
le mur. Hélène sort sa lampe de poche et elle découvre
un vase brisé.
"Oh ! j'ai trouvé un bout de papier froissé qui était
dans le vase.
- On dirait un parchemin, s'exclame Jérémy, il faut trouver
l'autre moitié !" Aussitôt dit, aussitôt fait. Simon
est déjà parti.
Il avance à quatre pattes dans le souterrain et glisse sa main
dans un trou. Il sent quelque chose de bizarre. "Mais c'est l'autre moitié
!" triomphe Simon. Ils partent tous à la recherche du trésor
en suivant le chemin indiqué sur le plan. Ils arrivent devant une
porte en bois. Ils l'ouvrent et là se cache un coffret en fer tout
poussiéreux et rouillé. Par chance, il n'est pas fermé
à clé. Mais dedans... pas de trésor... Le bonheur
n'est pas là.
Les enfants rentrent chez eux, ils sont très déçus.
Mais il leur reste un espoir car ils ont toujours le parchemin. Peut-être
vont-ils repartir à l'aventure ?
Hélène
- Camille - Jérémy - Simon
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Merci à Lise C. qui a aidé les enfants de l'école du
Sacré-Coeur de Saint Pierre à écrire ces contes dans son atelier d'écriture. Ces derniers ont été mis en place par l'association "Enfanphare".
Vous pourrez retrouver ces contes et bien d'autres (écrits par des enfants du Pays de la Châtaigneraie) dans le livre
Au bout du conte, paru aux éditions SOC et FOC.
Pour vous procurer Au bout du conte, il vous suffit de vous adresser à l'école du Sacré-Coeur de Saint Pierre, ou bien de vous rendre sur le site des Éditions SOC et FOC :
http://perso.wanadoo.fr/soc.et.foc/
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